10 faits macabres de la bataille de Waterloo

Les soldats anglais n’ont plus trop aimé leurs alliés Brunswickois quand ils découvrirent que ceux-ci adoraient manger... les chiens.

Napoléon fit attacher son guide du champ de bataille pour ne pas qu’il fuie, mais le récompensa malgré la défaite. Blücher remercia le sien en le faisant pendre et percer de coups de baïonnette…

À la Haie-Sainte, soixante-dix Français tombent au pied du mur de l’est. Leurs camarades les entassent pour escalader ce mur et mitrailler les Anglais.

Un Anglais raconte que le soir après les combats il ne put dormir devant tous ces morts, dont un qui avait les yeux fixés sur lui. Un coup de canon avait emporté sa tête entière, excepté juste le visage qui restait encore attaché au cou déchiqueté et sanglant. 

Une vraie canicule s’installa sur la région. Les corps pourrirent et les fosses où reposaient les cadavres se crevassaient, faisant réapparaitre les dépouilles, et surtout d’où émanaient des odeurs insoutenables.

On alluma des bûchers. Sur certains d’entre eux, près d’un millier de cadavres furent réduits en cendres, donnant à la plaine des allures dantesques.

Durant quatre jours, les chirurgiens opérèrent, sans anesthésie, des milliers de soldats et amputèrent tellement que les tas de membres dépassaient la hauteur des murs de la ferme de Mont Saint-Jean.

Avant la porcelaine, un bon dentier était fabriqué avec des dents humaines. On en arracha tellement sur les cadavres que les dentiers dits « de Waterloo » devinrent les plus prisés.

Quelque temps après la bataille, une société allemande déterra les ossements d’hommes ou de chevaux pour les broyer et les transformer en… engrais, vendu principalement en Angleterre.

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