L’auteur anonyme de la Chronique des quatre premiers Valois surnomme Jeanne de Bourgogne – mère de Jean le Bon – La mâle reine boiteuse et prétend qu’elle était « comme roi et faisait détruire ceux qui allaient contre son plaisir ».
Quand Jeanne de Bourgogne a tenté d’assassiner un évêque Lire la suite »
Charles dit « le Mauvais », comte d’Évreux et roi de Navarre, prétendait à la couronne en tant que petit-fils de Louis X par sa mère. Le roi, Jean II le Bon, s’en méfiait d’autant plus qu’il était intrigant, rusé, dangereux et puissant en raison de ses importants domaines qui s’étendaient de la Normandie aux abords de Paris.
Banquet royal : arrestations et exécutions au menu Lire la suite »
Fils du comte de Blois et de Marguerite de Valois, sœur de Philippe VI, Charles de Blois – ou de Chaumont – (1319-1364) était un homme aux contrastes extrêmes.
En raison du rapprochement de la Flandre avec l’Angleterre, grâce à Jacques van Artevelde, Philippe VI de Valois envoya sa flotte de guerre devant L’Écluse, avant-port de Bruges, pour empêcher les Anglais d’y revenir.
Philippe VI : exclu à l’Écluse et recalé à Calais Lire la suite »
En 1322, en digne successeur de Philippe le Bel, Charles IV inaugura son règne par des mises à mort rémunératrices, à commencer par celle de Gérard de La Guette, ex-ministre des Finances de Louis X, accusé d’avoir dilapidé le Trésor.
Fils posthume de Louis X, Jean fut proclamé roi immédiatement après sa naissance, le 14 novembre 1316, et mourut quatre jours plus tard.
Louis X le Hutin mourut dans des circonstances qui restent mystérieuses, sans que l’on sache encore avec certitude s’il s’agissait d’un accident.
Louis X : la flamme de sa vie s’est éteinte quinze jours après lui Lire la suite »
En 1539, à Compiègne, François Ier « tomba malade d’un apostume qui lui descendit au bas du ventre », c’est-à-dire un abcès du périnée, causé par une maladie vénérienne.
Syphilis, fistule, tuberculose : François Ier collectionnait les maladies Lire la suite »
L’abbé Dubois fut, dès 1716, l’homme de confiance du Régent. Ce diplomate ambitieux, de l’envergure d’un Mazarin – avec autant de vices –, fut envoyé cette année-là à Londres.
La syphilis du cardinal Dubois : une histoire pas très clerc Lire la suite »
Dans les règles secrètes des Templiers, rédigées en 1118 et modifiées au cours du XIIIe siècle, le pape est taxé d’Antéchrist et l’Église, de Satan.
Quand, en 1306, à la suite d’une émeute populaire contre lui, le roi apprit que deux Templiers avaient tenu à son sujet des propos diffamatoires, il les fit emprisonner à Toulouse.
Jacques de Molay : le dernier des Templiers français Lire la suite »
Deux fils de Philippe le Bel, les futurs Louis le Hutin et Philippe le Long, furent chacun trompés par leurs épouses respectives. Accusés d’adultère par la volonté de Philippe le Bel, les amants de ses brus, les deux frères d’Aulnay, furent condamnés à mort.
Le (très) cruel châtiment des amants des épouses des fils de Philippe le Bel Lire la suite »
Pour combler les caisses du Trésor, et si possible réaliser de gros bénéfices, le roi et ses conseillers eurent notamment recours à une levée régulière des impôts et à l’altération des monnaies, dont les variations gênèrent les commerçants au point de provoquer mécontentement et insurrections dans certaines villes.
Pour venger l’affront des « Matines brugeoises », le 8 juillet, une armée française forte de 47 000 hommes – 30 000 fantassins, 10 000 arbalétriers ou archers et 7 000 chevaliers –, commandés par Robert d’Artois, Raoul de Nesle et le comte de Saint-Pol, partit de Lille pour se diriger vers Courtrai.
La bataille des Éperons d’or : quand les « balayeurs » se font balayer Lire la suite »
Philippe le Bel s’inquiéta de voir se détacher de la France son puissant et riche comté de Flandre, aux villes drapières prospères, qui s’est rapproché de l’Angleterre pour des raisons économiques.
« Les Matines brugeoises » : quand les cadavres bouchaient les rues Lire la suite »
Malgré la relative brièveté du règne de ce souverain, la progéniture de Philippe III le Hardi fut impressionnante, non seulement par la ribambelle de ses enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants.
La descendance hors norme de Philippe III le Hardi Lire la suite »
En 1279, lors d’une série de tournois offerts en Ile-de-France par Philippe III au prince de Salerne, Robert de Clermont, le plus jeune frère du roi, reçut un si grand nombre de coups de massue sur la tête qu’il devint fou.
À Tunis, le cadavre de Louis IX fut, selon les usages, bouilli dans une cuve pleine d’eau et de vin, salé et désossé. On mit la chair dans des outres de cuir enduites de poix, les os et le cœur dans un coffret précieux.
Tout le monde connaît les propos de Joinville (1224-1317) rapportant qu’en été le roi rendait la justice au bois de Vincennes, après la messe, sous un chêne, vêtu simplement.
Louis IX est le seul roi de France canonisé : portrait d’un saint Lire la suite »
Pour faire leurs besoins, les gens recouraient le plus souvent chez eux aux vases de nuit, vidés par les fenêtres moyennant le cri d’avertissement « À l’eau ! » ou « Gare l’eau ! ».
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