Je préfère être fusillé

Enquête sur les condamnations à mort prononcées par les conseils de guerre belges

Cent quarante militaires belges furent condamnés à la peine de mort entre le mois d’août 1914 et la fin décembre 1918. Qui étaient-ils ?
Quels faits avaient-ils commis pour être punis si sévèrement ?
Quels furent les facteurs qui entrèrent en jeu pour en arriver à cette peine suprême ?
Qu’advint-il de ceux qui furent condamnés mais non exécutés ?
Quelle fut pour chacun l’attitude du roi Albert face à ce dossier ?
Notre justice fut-elle à chaque fois sereine et attentive à la souffrance endurée par les soldats ou bien peut-on lui reprocher, à certains moments, d’avoir été expéditive et d’avoir « fait des exemples » ?
Et question brûlante d’actualité, faut-il réhabiliter ces condamnés à mort de 14-18 ?
Quelles sont les raisons présentées par la NVA et par les familles de fusillés pour demander cette réhabilitation ?
L’auteur, Benoît Amez, assistant au département Histoire et doctorant au centre d’Histoire du Droit et de la Justice de l’UCL, a mené une enquête de plusieurs années sur ce passé trouble de notre Histoire nationale. Il apporte une réponse claire, celle d’un spécialiste de la Grande Guerre,
à toutes ces questions.

L’auteur

Benoît Amez a déjà publié de nombreuses recherches sur l’Histoire sociale et l’Histoire culturelle de la guerre 14-18. Il est également l’auteur de « Vie et survie dans les tranchées belges » publié aux Éditions Jourdan.

Retour en haut